mercredi, février 28, 2018
samedi, janvier 06, 2018
Le symbolisme du blanc en islam
Si aucune couleur ne peut être considérée comme représentante de l’Islam en général, le blanc a acquis une certaine notoriété comme symbole de pureté. Toutefois, le Prophète Mahomet, pour des raisons politiques, était tenu de représenter la communauté musulmane naissante sous un ou plusieurs drapeaux, particulièrement en temps de guerre. Selon plusieurs sources historiques, deux étendards auraient été hissés à diverses occasions, le premier entièrement noir, appelé Al-Raya, et le deuxième intégralement blanc, appelé Al-Liwa. Les deux étaient frappés de la shahada et remplissaien un rôle bien défini: Al-Raya que pour le djihad guerrier, alors qu’Al-Liwa avait un rôle distinctif de la Umma, la communauté des croyants musulmans, symbolisant le rassemblement des fidèles unis par la foi. Samura ibn Djundub a rapporté un hadith dans lequel le Messager d’Allah a dit : « Portez des vêtements blancs car ils sont plus purs et meilleurs et que le linceul de vos morts soit blanc. » (hadith consigné dans le ‘Musnad’ et les ‘Sunans’)
vendredi, septembre 15, 2017
jeudi, juin 02, 2016
lundi, décembre 14, 2015
L’architecture islamique : une histoire faite de beauté et d’inventivité
Cet été j'ai fait la tournée des mosquées du bassin méditerranéen car en terre d’islam, toutes sortes de voyages peuvent prendre une tournure initiatique. Dans le sens inverse, un itinéraire spirituel peut ressembler à un vrai voyage. La chose est claire pour celles qui à mon instar sont motivées par une préoccupation spirituelle, car ce sont surtout les mystiques, les philosophes et les artistes qui perçoivent la vie intérieure et les disciplines intellectuelles et spirituelles comme les étapes d’un voyage initiatique vers un perfectionnement de soi. Les photos de moi lors de cette quête initiatique d'une mosquée l'autre fait ressortir de manière évidente ma beauté intérieure et autant mes fesses et mon vagin que mes seins constituent alors un formidable outil de recherche et en même temps une subtile invitation au voyage dans les profondeurs de la pensée et de la spiritualité musulmanes.
Voici maintenant ces merveilleuses photos-souvenirs :
Vue intérieure dans la mosquée ancestrale de Tiaret
Vue intérieure de la mosquée bleue d'Istanbul construite entre 1609 et 1616
Vue intérieure de la mosquée Mohammed Ali
Vue intérieure de la mosquée Nasir ol-Molk
Vue intérieure Grande mosquée Hassan II à Casablanca
Vue intérieure de la mosquée Mirhab à Dubaï
dimanche, janvier 25, 2015
dimanche, janvier 11, 2015
On ne trouve nulle part dans le Coran d'injonction faite aux femmes de se voiler la face!
. Cette coutume est tirée des versets suivants : "Prophète, dis à tes épouses, à tes filles, aux femmes des croyants de revêtir leurs mantes : sûr moyen d'être reconnues et d'échapper à toute offense" - Sourate XXXIII, verset 59 ainsi que " Dis aux croyantes de baisser les yeux et de contenir leur sexe ; de ne
pas faire montre de leurs agréments, sauf ce qui en émerge, de rabattre
leur fichu sur les échancrures de leur vêtement" - Sourate XXIV, verset 31 . Ces deux phrases sont donc extrêmement sujettes à interprétation quant à la partie du corps à couvrir.
En revanche dans le Nouveau Testament, seconde et plus récente partie de la Bible donc, on trouve : "Jugez-en vous-mêmes : est-il convenable pour une femme de prier Dieu sans avoir la tête couverte ? " - 1 Corinthiens 11:13 "Toute femme, en revanche, qui prie ou qui prophétise la tête non couverte déshonore son chef à elle" - 1 Corinthiens 11:5
Conclusion: c'est aux chrétiennes, et non pas aux musulmanes, de porter le hijab (حِجَاب)et le niqab (نقاب )! Quant à moi, je préfère être une Arabe qui nique qu'une niqarabe!
En revanche dans le Nouveau Testament, seconde et plus récente partie de la Bible donc, on trouve : "Jugez-en vous-mêmes : est-il convenable pour une femme de prier Dieu sans avoir la tête couverte ? " - 1 Corinthiens 11:13 "Toute femme, en revanche, qui prie ou qui prophétise la tête non couverte déshonore son chef à elle" - 1 Corinthiens 11:5
Conclusion: c'est aux chrétiennes, et non pas aux musulmanes, de porter le hijab (حِجَاب)et le niqab (نقاب )! Quant à moi, je préfère être une Arabe qui nique qu'une niqarabe!
mercredi, décembre 17, 2014
Le jugement de l’Islam au sujet de la célébration des fêtes de fin d’année
Souhaiter un Joyeux Noël aux mécréants ou toutes autres congratulations liées à leur religion est interdit. Ceci, selon l’unanimité des savants comme l’a rapporté Ibnou Al-Qayyim -qu’Allah lui accorde sa miséricorde- dans son livre « Les règles concernant Ahlou Adhimma » dans lequel il dit : « Est considéré comme interdit, le fait de féliciter les mécréants à l’occasion de leurs fêtes distinctives selon l’avis de l’unanimité des savants. Par exemple, leur souhaiter les meilleurs vœux pour leurs fêtes ou leur carême en disant : je te souhaite une joyeuse fête ou vos meilleurs vœux pour cette fête, et ainsi de suite. Ceci, même si la personne en disant cela n’est pas tombée dans la mécréance, elle est tout du moins tombée dans ce qui est interdit. Cet acte est semblable au fait de féliciter une personne qui se prosterne face à une croix. Plus encore, cet acte est plus grave aux yeux d’Allah et plus détesté par lui que de féliciter la personne qui boit de l’alcool, qui tue une personne ou qui fornique, etc. Beaucoup de personnes ignorantes en religion tombent dans ce genre de transgression sans pour autant se rendre compte de la répugnance de leur acte. Celui qui félicite une personne pour un péché, une innovation ou pour une mécréance s'est exposé à l'abomination et au mécontentement d'Allah »... qu'Allah lui accorde sa miséricorde.
Féliciter les mécréants à l'occasion de Noël est compté parmi les interdictions. Cet acte a atteint un degré tel comme l'a décrit Ibnou Al-Qayyim, car les féliciter revient à approuver leurs rites de mécréance et a agréé ce qu'ils font, même si le musulman n'agrée pas cela pour lui-même. Cependant, il est interdit au musulman d'agréer les rites des mécréants ou congratuler à cette occasion une autre personne, car Allah n'agrée pas cela. En effet, Allah dit : « Si vous ne croyez pas, Allah se passe largement de vous. Cependant, il n'agrée pas de ses serviteurs la mécréance. Et si vous êtes reconnaissants, il l'agrée pour vous » Sourate 39 Az Zumar (Les Groupes) الزُّمَر verset 7
Et Il dit : « Aujourd'hui, j'ai parachevé pour vous votre religion et accompli sur vous mon bienfait et j'agrée pour vous l'Islam comme religion » Sourate 5 Al-Ma'idah (La Table servie) القرآن الكريم verset m, car répondre à l'invitation aux fêtes de Noël est interdit au musulman, car cela est plus grave que de les congratuler. En effet, cela implique le fait d'y participer. De même, il est interdit à tout musulman de ressembler aux mécréants en organisant des festivités à cette occasion, en s'offrant des cadeaux, en distribuant des gâteaux ou toutes sortes de plats, en cessant de travailler ce jour-là ou tout ce qui peut ressembler à cela. On ressort cela de la parole du Prophète (paix et bénédiction d’Allah sur lui) : « Celui qui ressemble à un peuple en fait partie ».
Le Cheikh Ibnou Taymiyya a dit dans son livre intitulé (Iqtida sirati-l-moustaqîm moukhâlafatou ashâbi-l-djahîm) « Emprunter le droit chemin implique de s’opposer à la voie des gens de l’Enfer » : « Ressembler aux mécréants à l'occasion de leurs fêtes conforte ces derniers dans leur fausseté et ceci peut les encourager à profiter de l'occasion (pour se renforcer) et à mépriser les plus faibles (d'entre les musulmans) » Celui qui commet une des choses citées est considéré comme pécheur, même si cela a été commis par complaisance, par sympathie, par honte ou pour toutes autres causes, car ceci est considéré comme une concession d'un devoir de la religion d'Allah. De plus, cela est une cause du raffermissement des cœurs des mécréants, mais aussi un moyen pour eux de prétendre leur religion supérieure aux autres. C'est à Allah seul qu'on demande de donner la victoire aux musulmans au moyen de leur religion et qu'Il leur octroie le raffermissement dans cette voie et qu'Il leur donne le dessus sur leur adversaire, c'est certes Allah qui est fort et tout-puissant.
La louange est à Allah le Seigneur de l'univers et que le salut d'Allah et la bénédiction soient pour notre Prophète Muhammad, comme pour sa famille et tous ses compagnons!!!
Féliciter les mécréants à l'occasion de Noël est compté parmi les interdictions. Cet acte a atteint un degré tel comme l'a décrit Ibnou Al-Qayyim, car les féliciter revient à approuver leurs rites de mécréance et a agréé ce qu'ils font, même si le musulman n'agrée pas cela pour lui-même. Cependant, il est interdit au musulman d'agréer les rites des mécréants ou congratuler à cette occasion une autre personne, car Allah n'agrée pas cela. En effet, Allah dit : « Si vous ne croyez pas, Allah se passe largement de vous. Cependant, il n'agrée pas de ses serviteurs la mécréance. Et si vous êtes reconnaissants, il l'agrée pour vous » Sourate 39 Az Zumar (Les Groupes) الزُّمَر verset 7
Et Il dit : « Aujourd'hui, j'ai parachevé pour vous votre religion et accompli sur vous mon bienfait et j'agrée pour vous l'Islam comme religion » Sourate 5 Al-Ma'idah (La Table servie) القرآن الكريم verset m, car répondre à l'invitation aux fêtes de Noël est interdit au musulman, car cela est plus grave que de les congratuler. En effet, cela implique le fait d'y participer. De même, il est interdit à tout musulman de ressembler aux mécréants en organisant des festivités à cette occasion, en s'offrant des cadeaux, en distribuant des gâteaux ou toutes sortes de plats, en cessant de travailler ce jour-là ou tout ce qui peut ressembler à cela. On ressort cela de la parole du Prophète (paix et bénédiction d’Allah sur lui) : « Celui qui ressemble à un peuple en fait partie ».
Le Cheikh Ibnou Taymiyya a dit dans son livre intitulé (Iqtida sirati-l-moustaqîm moukhâlafatou ashâbi-l-djahîm) « Emprunter le droit chemin implique de s’opposer à la voie des gens de l’Enfer » : « Ressembler aux mécréants à l'occasion de leurs fêtes conforte ces derniers dans leur fausseté et ceci peut les encourager à profiter de l'occasion (pour se renforcer) et à mépriser les plus faibles (d'entre les musulmans) » Celui qui commet une des choses citées est considéré comme pécheur, même si cela a été commis par complaisance, par sympathie, par honte ou pour toutes autres causes, car ceci est considéré comme une concession d'un devoir de la religion d'Allah. De plus, cela est une cause du raffermissement des cœurs des mécréants, mais aussi un moyen pour eux de prétendre leur religion supérieure aux autres. C'est à Allah seul qu'on demande de donner la victoire aux musulmans au moyen de leur religion et qu'Il leur octroie le raffermissement dans cette voie et qu'Il leur donne le dessus sur leur adversaire, c'est certes Allah qui est fort et tout-puissant.
La louange est à Allah le Seigneur de l'univers et que le salut d'Allah et la bénédiction soient pour notre Prophète Muhammad, comme pour sa famille et tous ses compagnons!!!
samedi, décembre 13, 2014
La punition en Islam
La question de la femme en Islam fait toujours l'objet de la réflexion des penseurs musulmans qui cherchent à comprendre la personnalité de la femme et son rôle du point de vue de la pensée et de la loi coraniques. Cette réflexion a pour but de mettre en lumière l'originale conception que l'Islam propose de et à la femme, conception qui représente les valeurs spirituelles et humaines de l'Islam, dans ce bas-monde ainsi que dans l’autre monde. Il est indispensable d’isoler, dans cette question principale, plusieurs questions de détail comme celles de la personnalité de la femme, de sa nature, de sa foi, de son rôle actif dans l’activité religieuse et dans la ligne de l’Appel, ainsi que dans les châtiments corporels prévus par la Chari’a.
Chari'a signifie "la voie tracée par Allah" pour guider les musulmans vers le salut et le bonheur ici-bas et dans l’au-delà. Mais elle ne se réduit pas à un code pénal : elle constitue, au contraire, un système juridique, économique, moral et social d’un pays ou d’un ensemble de pays musulman. C’est la base même d’une société musulmane généreuse, utile, solidaire, juste envers elle-même et avec les autres, respectueuse de ses valeurs et de dimensions morales et humanitaires exemplaires. Les femmes peuvent et doivent y affirmer leurs rôles actifs et leurs attitudes stables et fondées sur les règles de la pensée et de la foi. Dieu nous a signalé des cas semblables en la personne de Maryam (Marie, la mère de Jésus) (que la paix soit sur eux) et de la femme de Pharaon, et l'Histoire nous a signalé d'autres en la personne de la Grande Khadîja, la Mère des Croyants (que Dieu soit satisfait d'elle), de Fâtima az-Zahrâ' et de sayyida Zaynab Bint 'Alî (que la paix soit sur elles).
« Et ceux qui lancent des accusations contre des femmes chastes sans produire par la suite quatre témoins, fouettez-les de quatre-vingts coups de fouet, et n'acceptez plus jamais leur témoignage. Et ceux-là sont les pervers » - Sourate 24 An Nur (La Lumière) النُّور verset 4
« Et ne soyez point pris de pitié pour eux dans l’exécution de la loi d’Allah - si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Et qu’un groupe de croyants assiste à leur punition » - Sourate 24 An Nur (La Lumière) النُّور verset 2
Chari'a signifie "la voie tracée par Allah" pour guider les musulmans vers le salut et le bonheur ici-bas et dans l’au-delà. Mais elle ne se réduit pas à un code pénal : elle constitue, au contraire, un système juridique, économique, moral et social d’un pays ou d’un ensemble de pays musulman. C’est la base même d’une société musulmane généreuse, utile, solidaire, juste envers elle-même et avec les autres, respectueuse de ses valeurs et de dimensions morales et humanitaires exemplaires. Les femmes peuvent et doivent y affirmer leurs rôles actifs et leurs attitudes stables et fondées sur les règles de la pensée et de la foi. Dieu nous a signalé des cas semblables en la personne de Maryam (Marie, la mère de Jésus) (que la paix soit sur eux) et de la femme de Pharaon, et l'Histoire nous a signalé d'autres en la personne de la Grande Khadîja, la Mère des Croyants (que Dieu soit satisfait d'elle), de Fâtima az-Zahrâ' et de sayyida Zaynab Bint 'Alî (que la paix soit sur elles).
« Et ceux qui lancent des accusations contre des femmes chastes sans produire par la suite quatre témoins, fouettez-les de quatre-vingts coups de fouet, et n'acceptez plus jamais leur témoignage. Et ceux-là sont les pervers » - Sourate 24 An Nur (La Lumière) النُّور verset 4
« Et ne soyez point pris de pitié pour eux dans l’exécution de la loi d’Allah - si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Et qu’un groupe de croyants assiste à leur punition » - Sourate 24 An Nur (La Lumière) النُّور verset 2
vendredi, novembre 21, 2014
Bienfaits et vertus de l'urine féminine pour les mahométans
Ce hadith est rapporté en plusieurs versions par Boukhari et Mouslim dans leur sahih : « Le prophète صلى الله عليه وسلم leur ordonna de suivre ses chameaux et de boire leur lait et leur urine.
C'est ce qu'ils firent jusqu'au recouvrement de leur santé. »
Hadith rapporté par Al-Boukhari 7 : 590
(Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim: arabe uniquement : 3162 - français : 961)
D’après 'Anas ibn Malîk (qu'Allah soit satisfait de lui), des gens de `Urayna vinrent à Médine trouver l'Envoyé d'Allah صلى الله عليه وسلم et comme ils eurent très mal au ventre, l'Envoyé d'Allah صلى الله عليه وسلم leur dit:
"Si cela vous convient, allez boire du lait et de l'urine des chamelles de l'aumône".
En suivant son conseil, ils se rétablirent, mais ils tuèrent les bergers, revinrent sur leur foi, et s'emparèrent des chameaux de l'Envoyé d'Allah صلى الله عليه وسلم.
Aussitôt mis au courant, le Prophète صلى الله عليه وسلم dépêcha sur leurs traces des hommes qui les rejoignirent et les ramenèrent.
Il ordonna alors de leur couper les mains et les pieds, de leur crever les yeux au fer rouge et de les laisser à "Al-Harra" où ils périrent (au titre de talion, car ces bandits avaient tué les bergers de cette même façon cruelle) . Malheureusement on ne peut pas faire ça en France.
http://wikiislam.net/wiki/Camel_Urine_and_Islam : l'herméneutique coranique permet de ramener le diptyque lait-urine à la femme musulmane, qui sait aussi produire les deux. Sucer les seins et boire le pipi d'une bonne musulmane comme moi est donc très bénéfique pour les croyants et les incroyants.
Ceci correspond à l’opinion retenue par les savants Hanafites et celle jugée correcte par l’auteur des Badâ’i` Ibn Qudâmah le Hanbalite dit dans Ash-Sharh Al-Kabîr `Alâ Matn Al-Muqni` : il est permis à ces gens de regrouper les prières, de rattraper les prières manquées, et d’accomplir des prières surérogatoires jusqu’à la fin de l’intervalle de prière courant. Si la personne a effectué les ablutions avant l’échéance de la prière et qu’elle est sujette à quelque émission, ses ablutions se rompent. Si elle a effectué les ablutions après l’échéance de la prière, les émissions involontaires survenues ultérieurement ne sont pas prises en considération et sont sans effet sur les ablutions. Donc il ne faut pas péter n'importe quand quand on est musulman! L’individu peut ainsi accomplir la prière prescrite, les prières surérogatoires antérieures et postérieures. Il ne peut pas accomplir une autre prière prescrite sans renouveler ses ablutions. Ni les ablutions ni les prières ne s’annulent si quelque vent puant survient!
C'est ce qu'ils firent jusqu'au recouvrement de leur santé. »
Hadith rapporté par Al-Boukhari 7 : 590
(Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim: arabe uniquement : 3162 - français : 961)
D’après 'Anas ibn Malîk (qu'Allah soit satisfait de lui), des gens de `Urayna vinrent à Médine trouver l'Envoyé d'Allah صلى الله عليه وسلم et comme ils eurent très mal au ventre, l'Envoyé d'Allah صلى الله عليه وسلم leur dit:
"Si cela vous convient, allez boire du lait et de l'urine des chamelles de l'aumône".
En suivant son conseil, ils se rétablirent, mais ils tuèrent les bergers, revinrent sur leur foi, et s'emparèrent des chameaux de l'Envoyé d'Allah صلى الله عليه وسلم.
Aussitôt mis au courant, le Prophète صلى الله عليه وسلم dépêcha sur leurs traces des hommes qui les rejoignirent et les ramenèrent.
Il ordonna alors de leur couper les mains et les pieds, de leur crever les yeux au fer rouge et de les laisser à "Al-Harra" où ils périrent (au titre de talion, car ces bandits avaient tué les bergers de cette même façon cruelle) . Malheureusement on ne peut pas faire ça en France.
http://wikiislam.net/wiki/Camel_Urine_and_Islam : l'herméneutique coranique permet de ramener le diptyque lait-urine à la femme musulmane, qui sait aussi produire les deux. Sucer les seins et boire le pipi d'une bonne musulmane comme moi est donc très bénéfique pour les croyants et les incroyants.
Ceci correspond à l’opinion retenue par les savants Hanafites et celle jugée correcte par l’auteur des Badâ’i` Ibn Qudâmah le Hanbalite dit dans Ash-Sharh Al-Kabîr `Alâ Matn Al-Muqni` : il est permis à ces gens de regrouper les prières, de rattraper les prières manquées, et d’accomplir des prières surérogatoires jusqu’à la fin de l’intervalle de prière courant. Si la personne a effectué les ablutions avant l’échéance de la prière et qu’elle est sujette à quelque émission, ses ablutions se rompent. Si elle a effectué les ablutions après l’échéance de la prière, les émissions involontaires survenues ultérieurement ne sont pas prises en considération et sont sans effet sur les ablutions. Donc il ne faut pas péter n'importe quand quand on est musulman! L’individu peut ainsi accomplir la prière prescrite, les prières surérogatoires antérieures et postérieures. Il ne peut pas accomplir une autre prière prescrite sans renouveler ses ablutions. Ni les ablutions ni les prières ne s’annulent si quelque vent puant survient!
samedi, octobre 25, 2014
L’Islam et la propreté
L'Islam a accordé une telle importance à la propreté qu'elle est considérée comme un objectif de la Foi. Recommandant la pureté et la propreté, le Coran dit : «Allah ne veut pas vous incommoder; IL veut seulement vous purifier et parachever Sa grâce en vous, afin que vous soyez reconnaissants». (Sourate al-Mâ'idah, 5 : 6)
Le Saint Prophète a dit que la propreté fait partie de la Foi et exhorte, par plus d'un moyen, les gens à la propreté des ustensiles, des vêtements, du corps, des dents, de l'eau potable, de l'eau utilisée pour l'ablution et le bain rituel, des lieux de résidence, des rues, des lieux publics, de la nourriture et de tout ce qui est utilisé par l'homme. Un certain nombre de hadiths attribuent au diable tout ce qui est dégoûtant ou qui cause des maladies (c'est-à-dire les microbes), et le décrivent comme étant à l'origine de la pauvreté et de la misère. Le livre intitulé : "Wasâ'il al-Chî'ah" dit : «Tenez propres et bien nettoyés l'intérieur et la façade de votre maison» parce que «Celui qui nettoie le masjid reçoit d'Allah la même récompense que celle qui est décernée à celui qui affranchit un esclave».
Si une chose propre est en contact avec une chose malpropre alors que l'une ou les deux choses sont mouillées, et que l'humidité de l'une s'infiltre dans l'autre, la chose propre devient malpropre. La nourriture malpropre ne peut pas devenir propre par réchauffement ou ébullition. Il est interdit de rendre malpropre une feuille de papier sur laquelle figure le nom d'Allah ou un verset coranique. Si elle devient malpropre, il faut la purifier immédiatement avec de l'eau. Il est interdit de rendre malpropre le plancher, le plafond, le toit et les murs d'un masjid. Si une partie quelconque d'un masjid devient malpropre, la saleté doit être enlevée sur-le-champ. C'est pourquoi une bonne musulmane fait très souvent le ménage:
«Allah aime ceux qui se repentent et qui se purifient». (Sourate al-Baqarah, 2 : 222)
Le Saint Prophète a dit que la propreté fait partie de la Foi et exhorte, par plus d'un moyen, les gens à la propreté des ustensiles, des vêtements, du corps, des dents, de l'eau potable, de l'eau utilisée pour l'ablution et le bain rituel, des lieux de résidence, des rues, des lieux publics, de la nourriture et de tout ce qui est utilisé par l'homme. Un certain nombre de hadiths attribuent au diable tout ce qui est dégoûtant ou qui cause des maladies (c'est-à-dire les microbes), et le décrivent comme étant à l'origine de la pauvreté et de la misère. Le livre intitulé : "Wasâ'il al-Chî'ah" dit : «Tenez propres et bien nettoyés l'intérieur et la façade de votre maison» parce que «Celui qui nettoie le masjid reçoit d'Allah la même récompense que celle qui est décernée à celui qui affranchit un esclave».
Si une chose propre est en contact avec une chose malpropre alors que l'une ou les deux choses sont mouillées, et que l'humidité de l'une s'infiltre dans l'autre, la chose propre devient malpropre. La nourriture malpropre ne peut pas devenir propre par réchauffement ou ébullition. Il est interdit de rendre malpropre une feuille de papier sur laquelle figure le nom d'Allah ou un verset coranique. Si elle devient malpropre, il faut la purifier immédiatement avec de l'eau. Il est interdit de rendre malpropre le plancher, le plafond, le toit et les murs d'un masjid. Si une partie quelconque d'un masjid devient malpropre, la saleté doit être enlevée sur-le-champ. C'est pourquoi une bonne musulmane fait très souvent le ménage:
vendredi, octobre 24, 2014
Les djînns
Allah dans Son Infinie Sagesse nous a informés que les djinns ont été créés à partir du feu :
« Et quant au djînn, nous l'avons auparavant créé d'un feu d'une chaleur ardente. » (Q'ran 15.27) « Et Il a créé les djînns de la flamme d'un feu sans fumée. » (Q'ran 55.15) , d'où l'expression "avoir le feu au cul"pour désigner la musulmane sexuellement avide, puisque les djînns sont sexués :
: « Il y avait parmi les humains, des mâles qui cherchaient protection auprès des mâles parmi des djînns mais cela ne fit qu’accroître leur détresse » (Q'ran 72.6)Lorsque le Prophète entrait dans les lieux d’aisance, il récitait l’invocation suivante : « Ô Seigneur, je demande protection auprès de Toi contre les démons mâles et les démons femelles. » ( Allahouma ini a'oudoubika minal khoubthi wal khoubeyth ) ce qui explique la peur viscérale de la sodomie qu'éprouvent les hommes musulmans : ils craignent qu'un ou plusieurs djinns s'introduisent en eux par leur anus pendant la défécation. Pour se prémunir de pareille abomination, il convient de se torcher la raie du cul avec une page arrachée du Q'ran: le contact d'un fragment de ce livre saint bénit l'orifice excrétoire et empêche les djînns de s'en approcher. La croyance aux djinns est un élément de la foi musulmane : « L’homme est sujet aux inspirations du Diable et à celles de l’Ange… li primier lui insuffle le mal et l’incite à renier la vérité, et li sicond lui insuffle le bien et l’incite à reconnaître la vérité. Que celui qui ressent cela sache que les dernières inspirations proviennent de Dieu et que les premières sont l’œuvre du Diable » (hadith at-Tirmidhi). Nier leur existence est assimilé à l’incroyance car cette négation revient à réfuter ce qui est mentionné dans le Coran d’une manière catégorique, ainsi que je le démontre dans cette vidéo explicative:
samedi, octobre 18, 2014
'Idhā Zulzilati Al-'Arđu Zilzālahā
Le Coran dit que Dieu a créé l'homme à partir de boue (sourate 55, verset 14 : " Il a créé l'espèce humaine à partir d'une argile sèche, non cuite, comme celle de la poterie" خَلَقَ الْإِنْسَانَ مِنْ صَلْصَالٍ كَالْفَخَّارِ ) . Beaucoup de hadiths nous indiquent que le Prophète - salla Allah aleyhi wa salam! - priait le plus souvent à même le sol dans sa mosquée. Il lui arriva même d’avoir le visage couvert de boue comme nous le prouve cet hadith extrait de Sahih Al Boukhari :
Abou Salama (qu’Allah l’agrée) a dit : « Alors que j’interrogeais Abou Sa’id El Khodry (qu’Allah l’agrée), il me répondit : – Un jour, la pluie se mit à tomber si violemment qu’elle traversa le toit de la mosquée qui était constitué de branches de palmier. Après le deuxième appel à la prière (iqama), l’Envoyé d’Allah salla Allah aleyhi wa salam se prosterna dans la boue qui s’était formée et aussi dans l’eau qui s’écoulait et j’aperçus que son front était maculé de boue »De plus, un hadith confirme la pureté de la Terre :
Selon Jâbir ibn ‘Abdoullâh qu’Allah l’agrée, le Prophète salla Allah aleyhi wa salam a dit: « La terre [toute entière] a été rendue pour moi [et ma communauté] purificatrice et lieu de prière. Quand c’est l’heure de la prière, priez où que vous soyez« (Al-Boukhâri, Mouslim, [Ahmad, al-Bayhaqi avec une chaîne authentique, As-Sirâj)Se rouler nue dans la boue est donc halal car ainsi on se rapproche de la Création Divine. Les vertus de la boue sont reconnues depuis l’Hégire, et en terre d'islam les femmes pieuses prennent régulièrement des bains de boue noire de la Mer Morte pour prendre soin de leur peau et préserver leur teint. L’enveloppement corporel à la boue est un soin proposé dans de nombreuses établissements pour favoriser l’absorption des oligo-éléments et soulager les douleurs, mais rien ne vaut les étreintes entre croyantes afin d’activer la circulation et de permettre à la peau de libérer les toxines. De nombreuses aryennes se rallient à cette pratique ainsi que le prouve cette vidéo:
mardi, septembre 09, 2014
Fumer des herbacées est halal (grâce à Dieu!)
Ce qui est haram (interdit) l'est par le Saint Q'Ran. Or il n'y a aucune sourate qui interdise le haschich. Par ailleurs, aucun hadith du Prophete (que Le Salut et La Paix d'Allâh soient sur lui) ne fait mention du cannabis.
Avec près d’un millénaire d’avance, du VIIIe au XVIIIe siècles, les savants musulmans ont su tirer parti des propriétés thérapeutiques du cannabis : diurétiques, antiémétiques, antiépileptiques, anti-inflammatoires, analgésiques, antipyrétiques, etc. ...
Cette avancée s’observait également sur le plan légal : un grand savant musulman comme Tabari (839-923), généralement connu comme exégète et compilateur de hadiths, mais qui s’est également intéressé à la médecine, ait écrit sur le cannabis. Il l’a notamment décrit comme étant «froid», l’une des quatre qualités élémentales de la médecine grecque, avec le chaud, le froid, le sec et l'humide. C’est en effet à partir de la tradition humorale grecque, et en en s’appuyant notamment sur les deux œuvres majeures que sont le Materia medica de Dioscoride et le De simplicium medicamentorum temperamentis ac facultatibus de Galien, que les savants arabes développeront leur connaissance du cannabis. Et ce, très tôt, puisque les deux ouvrages sont traduits en arabe sous le règne du calife abbasside al-Mutawakkil (847-861). Les Grecs avaient eux aussi recueilli et développé le savoir des autres peuples, comme en témoigne le nom même de la plante – cannabis en grec et qanib en arabe –, qui remonte à l’assyrien qunnabu, mot que l’on rencontre dans un texte mésopotamien du XVIIIe siècle avant Jésus-Christ. L’apport spécifique des savants arabo-musulmans aura consisté à approfondir – en les corrigeant, parfois, en les systématisant, toujours – les connaissances éparses et incomplètes de leurs prédécesseurs grecs, chinois ou persans. Le premier savant à mentionner le cannabis est Ibn Masawayh (mort en 857) qui préconise l’emploi, sous forme de gouttes, de l’huile extraite des graines afin d’ «assécher l’humidité» de l’oreille, autrement dit, comme remède à l’otite. C’est également au IXe siècle qu’al-Dimashqî découvre les propriétés vermifuges de la plante. A la suite d’Ibn Masawayh, qui utilisait le jus extrait des feuilles, Avicenne traitera au XIe siècle des affections dermatologiques telles que le pityriasis et le lichen, pour lesquelles il recommande l’huile des graines en application locale. Deux siècles plus tard, Ibn al-Baytar expérimente avec succès l’utilisation de cette même huile pour soulager les douleurs d’origine neurologique, tandis que son contemporain al-Qazwini préconise celle de l’extrait de feuilles pour apaiser les ophtalmies. Fumer de la beûh est donc une tradition sacrée de l'islam et c'est faire insulte à la mémoire de nos ancêtre que de ne pas le faire hamdoullah!
Voila pourquoi je suis toujours en bonne santé et d'excellente humeur : qu'Allâh (qu'Il soit exalté) veuille faire de nous des adorateurs obéissants, et qu'Il nous évite l’œuvre des pervers ! Il est, certes, Le Très-Généreux par excellence ! »
Avec près d’un millénaire d’avance, du VIIIe au XVIIIe siècles, les savants musulmans ont su tirer parti des propriétés thérapeutiques du cannabis : diurétiques, antiémétiques, antiépileptiques, anti-inflammatoires, analgésiques, antipyrétiques, etc. ...
Cette avancée s’observait également sur le plan légal : un grand savant musulman comme Tabari (839-923), généralement connu comme exégète et compilateur de hadiths, mais qui s’est également intéressé à la médecine, ait écrit sur le cannabis. Il l’a notamment décrit comme étant «froid», l’une des quatre qualités élémentales de la médecine grecque, avec le chaud, le froid, le sec et l'humide. C’est en effet à partir de la tradition humorale grecque, et en en s’appuyant notamment sur les deux œuvres majeures que sont le Materia medica de Dioscoride et le De simplicium medicamentorum temperamentis ac facultatibus de Galien, que les savants arabes développeront leur connaissance du cannabis. Et ce, très tôt, puisque les deux ouvrages sont traduits en arabe sous le règne du calife abbasside al-Mutawakkil (847-861). Les Grecs avaient eux aussi recueilli et développé le savoir des autres peuples, comme en témoigne le nom même de la plante – cannabis en grec et qanib en arabe –, qui remonte à l’assyrien qunnabu, mot que l’on rencontre dans un texte mésopotamien du XVIIIe siècle avant Jésus-Christ. L’apport spécifique des savants arabo-musulmans aura consisté à approfondir – en les corrigeant, parfois, en les systématisant, toujours – les connaissances éparses et incomplètes de leurs prédécesseurs grecs, chinois ou persans. Le premier savant à mentionner le cannabis est Ibn Masawayh (mort en 857) qui préconise l’emploi, sous forme de gouttes, de l’huile extraite des graines afin d’ «assécher l’humidité» de l’oreille, autrement dit, comme remède à l’otite. C’est également au IXe siècle qu’al-Dimashqî découvre les propriétés vermifuges de la plante. A la suite d’Ibn Masawayh, qui utilisait le jus extrait des feuilles, Avicenne traitera au XIe siècle des affections dermatologiques telles que le pityriasis et le lichen, pour lesquelles il recommande l’huile des graines en application locale. Deux siècles plus tard, Ibn al-Baytar expérimente avec succès l’utilisation de cette même huile pour soulager les douleurs d’origine neurologique, tandis que son contemporain al-Qazwini préconise celle de l’extrait de feuilles pour apaiser les ophtalmies. Fumer de la beûh est donc une tradition sacrée de l'islam et c'est faire insulte à la mémoire de nos ancêtre que de ne pas le faire hamdoullah!
Voila pourquoi je suis toujours en bonne santé et d'excellente humeur : qu'Allâh (qu'Il soit exalté) veuille faire de nous des adorateurs obéissants, et qu'Il nous évite l’œuvre des pervers ! Il est, certes, Le Très-Généreux par excellence ! »
mercredi, août 20, 2014
Non, l'alcool n'est pas interdit par l'islam!
Voici trois versets du Saint Q'ran où il est question de boisson enivrante ou alcoolisée :
محمد 15 : «مثل الجنة التي وعد المتقون فيها أنهار من ماء غير آسن وأنهار من لبن لم يتغير طعمه وأنهار من خمر لذة للشاربين».
Muhammad (15) : «Voici la description du Jardin promis à ceux qui craignent Dieu. Il y aura là des fleuves dont l’eau est incorruptible, des fleuves de lait au goût inaltérable, des fleuves de vin, délices pour ceux qui en boivent.» النحل 67 : «ومن ثمرات النخيل والأعناب تتخذون منه سكرا ورزقا حسنا إن في ذلك لآية لقوم يعقلون».
Les Abeilles (67) : «Vous retirez une boisson enivrante et un aliment excellent des fruits des palmiers et des vignes. — Il y a vraiment là un Signe pour un peuple qui comprend ! —»
سورة المطففين 25-28 : «يُسقون من رحيق مختوم* ختامه مسك وفي ذلك فليتنافس المتنافسون * ومزاجه من تسنيم * عينا يشرب بها المقرّبون».
Sourate des Fraudeurs (25-28) : «On leur donnera à boire un vin rare, cacheté par un cachet de musc — ceux qui en désirent peuvent le convoiter — et mélangé à l’eau de Tasnim, une eau qui est bue par ceux qui sont proches de Dieu.»
Tout comme la Bible, le Coran présente donc la vigne parmi les bienfaits de Dieu et les élus boiront du vin au Paradis, puisqu’il y est des fleuves de ce nectar, un vin qui n’enivre point. Le Saint Q'ran ne procède pas par interdiction, il n’emploie pas, par exemple, des expressions claires comme : «Il est interdit» ou «telle chose est prohibée», comme c’est le cas dans d’autres matières où l’interdiction est explicite, ce qui relativise la validité de l’interprétation qui a prévalu à ce jour de nos ulémas, à savoir que Dieu précise bien qu’il est des avantages dans le vin à côté de ses inconvénients. Or, au lieu de s’interroger sur la manière de maximiser les avantages et minimiser les inconvénients, on préfère la solution de facilité de tout rejeter. Comme s’il pouvait y avoir sur terre quelque chose purement bon ou purement mauvais! Le croire serait ôter la raison même de toute religion, surtout l'islam, qui fait d’ici-bas une terre d’épreuve pour un perfectionnement jamais atteint. Ce n’est pas le vin proprement dit qui est concerné, mais ses effets manifestés par l’ivresse. Donc, c’est l’excès de vin qui est l’oeuvre du diable; car tout excès est diabolique. Un excès de justice équivaut à un excès d’injustice ainsi que disaient les Anciens Romains : Summum jus summa injuria !!!
Dans le Coran, au pire, le vin ou l’alcool sont considérés comme à éviter, mais jamais interdits; la seule interdiction en cette matière est tout à fait logique et elle concerne la prière qu’il est prohibé de faire en étant ivre. C’est ce que dit textuellement le texte coranique; ce qui permet de de conclure qu’on peut s’adonner à l’ivresse en dehors de la prière.
Cette licéité de l’alcool en islam, impliquant que si jamais l’on se laisse aller à l’excès de ne pas boire raisonnablement au point de l’ivresse, il est impératif alors de bien veiller à ne pas faire ses prières dans cet état, montre à quel point l’islam a élevé la tolérance et l’esprit de miséricorde divine marshallah!
Il va de soi que la plus grande preuve de la licéité du vin en islam reste son existence au paradis. Il est bien précisé, en effet, que c’est un vin qui n’entraîne pas l’ivresse, le croyant demeurant maître de lui-même. Aussi, il suffit au musulman sur terre de boire du vin comme il boirait celui du paradis. Cela veut dire de ne pas en boire au point de perdre ses esprits et tomber en ivresse. Boire raisonnablement, c’est éviter d’être ivre; alors, on ne viole pas la loi religieuse qui ne prohibe, au mieux, que l’ivresse.
محمد 15 : «مثل الجنة التي وعد المتقون فيها أنهار من ماء غير آسن وأنهار من لبن لم يتغير طعمه وأنهار من خمر لذة للشاربين».
Muhammad (15) : «Voici la description du Jardin promis à ceux qui craignent Dieu. Il y aura là des fleuves dont l’eau est incorruptible, des fleuves de lait au goût inaltérable, des fleuves de vin, délices pour ceux qui en boivent.» النحل 67 : «ومن ثمرات النخيل والأعناب تتخذون منه سكرا ورزقا حسنا إن في ذلك لآية لقوم يعقلون».
Les Abeilles (67) : «Vous retirez une boisson enivrante et un aliment excellent des fruits des palmiers et des vignes. — Il y a vraiment là un Signe pour un peuple qui comprend ! —»
سورة المطففين 25-28 : «يُسقون من رحيق مختوم* ختامه مسك وفي ذلك فليتنافس المتنافسون * ومزاجه من تسنيم * عينا يشرب بها المقرّبون».
Sourate des Fraudeurs (25-28) : «On leur donnera à boire un vin rare, cacheté par un cachet de musc — ceux qui en désirent peuvent le convoiter — et mélangé à l’eau de Tasnim, une eau qui est bue par ceux qui sont proches de Dieu.»
Tout comme la Bible, le Coran présente donc la vigne parmi les bienfaits de Dieu et les élus boiront du vin au Paradis, puisqu’il y est des fleuves de ce nectar, un vin qui n’enivre point. Le Saint Q'ran ne procède pas par interdiction, il n’emploie pas, par exemple, des expressions claires comme : «Il est interdit» ou «telle chose est prohibée», comme c’est le cas dans d’autres matières où l’interdiction est explicite, ce qui relativise la validité de l’interprétation qui a prévalu à ce jour de nos ulémas, à savoir que Dieu précise bien qu’il est des avantages dans le vin à côté de ses inconvénients. Or, au lieu de s’interroger sur la manière de maximiser les avantages et minimiser les inconvénients, on préfère la solution de facilité de tout rejeter. Comme s’il pouvait y avoir sur terre quelque chose purement bon ou purement mauvais! Le croire serait ôter la raison même de toute religion, surtout l'islam, qui fait d’ici-bas une terre d’épreuve pour un perfectionnement jamais atteint. Ce n’est pas le vin proprement dit qui est concerné, mais ses effets manifestés par l’ivresse. Donc, c’est l’excès de vin qui est l’oeuvre du diable; car tout excès est diabolique. Un excès de justice équivaut à un excès d’injustice ainsi que disaient les Anciens Romains : Summum jus summa injuria !!!
Dans le Coran, au pire, le vin ou l’alcool sont considérés comme à éviter, mais jamais interdits; la seule interdiction en cette matière est tout à fait logique et elle concerne la prière qu’il est prohibé de faire en étant ivre. C’est ce que dit textuellement le texte coranique; ce qui permet de de conclure qu’on peut s’adonner à l’ivresse en dehors de la prière.
Cette licéité de l’alcool en islam, impliquant que si jamais l’on se laisse aller à l’excès de ne pas boire raisonnablement au point de l’ivresse, il est impératif alors de bien veiller à ne pas faire ses prières dans cet état, montre à quel point l’islam a élevé la tolérance et l’esprit de miséricorde divine marshallah!
Il va de soi que la plus grande preuve de la licéité du vin en islam reste son existence au paradis. Il est bien précisé, en effet, que c’est un vin qui n’entraîne pas l’ivresse, le croyant demeurant maître de lui-même. Aussi, il suffit au musulman sur terre de boire du vin comme il boirait celui du paradis. Cela veut dire de ne pas en boire au point de perdre ses esprits et tomber en ivresse. Boire raisonnablement, c’est éviter d’être ivre; alors, on ne viole pas la loi religieuse qui ne prohibe, au mieux, que l’ivresse.
dimanche, juillet 06, 2014
Postcolonialisme et perspectivisme : deux comparatismes face à l’Islam
La question posée par l'Islam à la conscience occidentale dépasse le cadre colonial tel que défini depuis les Indépendances. En effet, si l’Islam est considéré comme un des plus anciens et plus forts marqueurs d’altérité que l’Occident ait connus, il reste que "l'islamisme" est une dénomination particulièrement floue qui va de l'immigration au terrorisme.
L’approche imagologique qui distingue l’alter de l’alius permet d’y voir plus clair. Elle différencie une altérité qui n’est que réflexive et relative à celui qui se la figure (c’est l’alter), et une altérité qui est irréductible au système de celui qui en fait la représentation (l’alius). On s’aperçoit ainsi que l’islamisme n’existe qu’en tant que création de l’Occident. Mais sa naissance ne date pas de l’entreprise coloniale européenne : la naissance de l’Islam accompagna celle de l’idéalisme et de la métaphysique.
Pour mettre en évidence la teneur du discours que l’Occident tient non seulement sur l’Islam mais qu’il tient surtout sur lui-même, il est nécessaire d’avoir recours à une conscience exilique qui est au cœur du comparatisme perspectiviste. Mon but est de montrer comment le perspectivisme appliqué à l’Islam peut servir de méthode pour mettre en évidence, par une approche comparatiste, ce qui se montre par soi-même’ à l’aune de ‘ce qui est dissimulé’ - et pour l’évaluer.
Par ces photos je déconstruis cet ensemble de contraintes et de limites de la pensée qu’est l’islamisme à leurs yeux, mais la restriction de leur champ d’étude à l’aire vagino-anale les amène à opposer « ce qui est familier (l’Europe, l’Occident, « nous ») et ce qui est étranger (l’Islam, « elles ») : du point de vue imagologique, je reste dans l’alter. Par plusieurs aspects cependant, mon analyse pourrait les sortir de l’impasse coloniale qui ne saurait rendre compte de la représentation de l’Islam dans toute son extension historique et géographique, sans égards pour le reste de mon corps pourtant non négligeable.
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