Voici trois versets du Saint Q'ran où il est question de boisson enivrante ou alcoolisée :
محمد 15 : «مثل الجنة التي وعد المتقون فيها أنهار من ماء غير آسن وأنهار من لبن لم يتغير طعمه وأنهار من خمر لذة للشاربين».
Muhammad (15) : «Voici la description du Jardin promis à ceux qui craignent Dieu. Il y aura là des fleuves dont l’eau est incorruptible, des fleuves de lait au goût inaltérable, des fleuves de vin, délices pour ceux qui en boivent.» النحل 67 : «ومن ثمرات النخيل والأعناب تتخذون منه سكرا ورزقا حسنا إن في ذلك لآية لقوم يعقلون».
Les Abeilles (67) : «Vous retirez une boisson enivrante et un aliment excellent des fruits des palmiers et des vignes. — Il y a vraiment là un Signe pour un peuple qui comprend ! —»
سورة المطففين 25-28 : «يُسقون من رحيق مختوم* ختامه مسك وفي ذلك فليتنافس المتنافسون * ومزاجه من تسنيم * عينا يشرب بها المقرّبون».
Sourate des Fraudeurs (25-28) : «On leur donnera à boire un vin rare, cacheté par un cachet de musc — ceux qui en désirent peuvent le convoiter — et mélangé à l’eau de Tasnim, une eau qui est bue par ceux qui sont proches de Dieu.»
Tout comme la Bible, le Coran présente donc la vigne parmi les bienfaits de Dieu et les élus boiront du vin au Paradis, puisqu’il y est des fleuves de ce nectar, un vin qui n’enivre point. Le Saint Q'ran ne procède pas par interdiction, il n’emploie pas, par exemple, des expressions claires comme : «Il est interdit» ou «telle chose est prohibée», comme c’est le cas dans d’autres matières où l’interdiction est explicite, ce qui relativise la validité de l’interprétation qui a prévalu à ce jour de nos ulémas, à savoir que Dieu précise bien qu’il est des avantages dans le vin à côté de ses inconvénients. Or, au lieu de s’interroger sur la manière de maximiser les avantages et minimiser les inconvénients, on préfère la solution de facilité de tout rejeter. Comme s’il pouvait y avoir sur terre quelque chose purement bon ou purement mauvais! Le croire serait ôter la raison même de toute religion, surtout l'islam, qui fait d’ici-bas une terre d’épreuve pour un perfectionnement jamais atteint. Ce n’est pas le vin proprement dit qui est concerné, mais ses effets manifestés par l’ivresse. Donc, c’est l’excès de vin qui est l’oeuvre du diable; car tout excès est diabolique. Un excès de justice équivaut à un excès d’injustice ainsi que disaient les Anciens Romains : Summum jus summa injuria !!!
Dans le Coran, au pire, le vin ou l’alcool sont considérés comme à éviter, mais jamais interdits; la seule interdiction en cette matière est tout à fait logique et elle concerne la prière qu’il est prohibé de faire en étant ivre. C’est ce que dit textuellement le texte coranique; ce qui permet de de conclure qu’on peut s’adonner à l’ivresse en dehors de la prière.
Cette licéité de l’alcool en islam, impliquant que si jamais l’on se laisse aller à l’excès de ne pas boire raisonnablement au point de l’ivresse, il est impératif alors de bien veiller à ne pas faire ses prières dans cet état, montre à quel point l’islam a élevé la tolérance et l’esprit de miséricorde divine marshallah!
Il va de soi que la plus grande preuve de la licéité du vin en islam reste son existence au paradis. Il est bien précisé, en effet, que c’est un vin qui n’entraîne pas l’ivresse, le croyant demeurant maître de lui-même. Aussi, il suffit au musulman sur terre de boire du vin comme il boirait celui du paradis. Cela veut dire de ne pas en boire au point de perdre ses esprits et tomber en ivresse. Boire raisonnablement, c’est éviter d’être ivre; alors, on ne viole pas la loi religieuse qui ne prohibe, au mieux, que l’ivresse.
محمد 15 : «مثل الجنة التي وعد المتقون فيها أنهار من ماء غير آسن وأنهار من لبن لم يتغير طعمه وأنهار من خمر لذة للشاربين».
Muhammad (15) : «Voici la description du Jardin promis à ceux qui craignent Dieu. Il y aura là des fleuves dont l’eau est incorruptible, des fleuves de lait au goût inaltérable, des fleuves de vin, délices pour ceux qui en boivent.» النحل 67 : «ومن ثمرات النخيل والأعناب تتخذون منه سكرا ورزقا حسنا إن في ذلك لآية لقوم يعقلون».
Les Abeilles (67) : «Vous retirez une boisson enivrante et un aliment excellent des fruits des palmiers et des vignes. — Il y a vraiment là un Signe pour un peuple qui comprend ! —»
سورة المطففين 25-28 : «يُسقون من رحيق مختوم* ختامه مسك وفي ذلك فليتنافس المتنافسون * ومزاجه من تسنيم * عينا يشرب بها المقرّبون».
Sourate des Fraudeurs (25-28) : «On leur donnera à boire un vin rare, cacheté par un cachet de musc — ceux qui en désirent peuvent le convoiter — et mélangé à l’eau de Tasnim, une eau qui est bue par ceux qui sont proches de Dieu.»
Tout comme la Bible, le Coran présente donc la vigne parmi les bienfaits de Dieu et les élus boiront du vin au Paradis, puisqu’il y est des fleuves de ce nectar, un vin qui n’enivre point. Le Saint Q'ran ne procède pas par interdiction, il n’emploie pas, par exemple, des expressions claires comme : «Il est interdit» ou «telle chose est prohibée», comme c’est le cas dans d’autres matières où l’interdiction est explicite, ce qui relativise la validité de l’interprétation qui a prévalu à ce jour de nos ulémas, à savoir que Dieu précise bien qu’il est des avantages dans le vin à côté de ses inconvénients. Or, au lieu de s’interroger sur la manière de maximiser les avantages et minimiser les inconvénients, on préfère la solution de facilité de tout rejeter. Comme s’il pouvait y avoir sur terre quelque chose purement bon ou purement mauvais! Le croire serait ôter la raison même de toute religion, surtout l'islam, qui fait d’ici-bas une terre d’épreuve pour un perfectionnement jamais atteint. Ce n’est pas le vin proprement dit qui est concerné, mais ses effets manifestés par l’ivresse. Donc, c’est l’excès de vin qui est l’oeuvre du diable; car tout excès est diabolique. Un excès de justice équivaut à un excès d’injustice ainsi que disaient les Anciens Romains : Summum jus summa injuria !!!
Dans le Coran, au pire, le vin ou l’alcool sont considérés comme à éviter, mais jamais interdits; la seule interdiction en cette matière est tout à fait logique et elle concerne la prière qu’il est prohibé de faire en étant ivre. C’est ce que dit textuellement le texte coranique; ce qui permet de de conclure qu’on peut s’adonner à l’ivresse en dehors de la prière.
Cette licéité de l’alcool en islam, impliquant que si jamais l’on se laisse aller à l’excès de ne pas boire raisonnablement au point de l’ivresse, il est impératif alors de bien veiller à ne pas faire ses prières dans cet état, montre à quel point l’islam a élevé la tolérance et l’esprit de miséricorde divine marshallah!
Il va de soi que la plus grande preuve de la licéité du vin en islam reste son existence au paradis. Il est bien précisé, en effet, que c’est un vin qui n’entraîne pas l’ivresse, le croyant demeurant maître de lui-même. Aussi, il suffit au musulman sur terre de boire du vin comme il boirait celui du paradis. Cela veut dire de ne pas en boire au point de perdre ses esprits et tomber en ivresse. Boire raisonnablement, c’est éviter d’être ivre; alors, on ne viole pas la loi religieuse qui ne prohibe, au mieux, que l’ivresse.
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